Si l'armée seelienne base sa force de frappe principalement sur les humains de synthèse EVA, elle dispose également d'une force de frappe au sol, d'une infanterie d'élite nommée Paladins, composée des descendants des chevaliers téteutoniques, chargée de finir le travail de pacification commencé auparavant par les EVAs.

Leur entraînement est devenu une référence, d'un niveau de souffrance et de don de soi du niveau des froques brunes du maréchal Hoogie. Devenu une référence, l'entraînement plus que rude des paladins a donné naissance à un nouveau terme, l'entraînement spartiate (venant de l'un des généraux paladins avec une déformation du langage qui finissait chaque bataille victorieuse par un chaleureux "maintenant qu'on a fini, on s'parre !")



Portrait

Mémé Merise, cantinière

Forcément des exercices pareils, ça demande une grosse dépense d'énergie, et c'est à entretenir : c'est pour cela que la Théocratie Seelienne a fait venir Mémé Merise de l'Ecole des Disciples du Dojo des Milles Saveurs afin de préparer de bons petits plats aux paladins seeliens.

On dit qu'elle mettrait parfois à leur demande du gingembre et un peu de produits aphrodisiaques quand ils partent à la conquête de nations peuplée de jeunes amazones : tout a été nié par le gouvernement seelien jusqu'ici.
  Histoire vécue

"Il règne dans ce batiment une ambiance digne des cirques de la rome antique : de jeunes et beaux éphèbes s'entraînant au combat, parfois sous l'oeil avide du grand pope fatigué par ses bishônens et qui vient renouveler sa garde-libido.

L'odeur de testostérone, de transpiration et de sable chaud emplit l'air pendant que de jeunes prêtresses ou demoiselles dans les gradins regardent avec avidité la future élite de l'armée seelienne.

Elles ne doivent pas savoir que ceux-ci sont voués à l'abstinence avant les batailles, et le plaisir physique n'est autorisé qu'en cas de victoire."


(Pr Ernenstein Jr, Les tribulations d'un seelien en Seele)