Enfants affamés
Enfants affamés

Le Krach

Mais la gestion délurée conduisit Palladium-City au bord de la faillite. L'indice boursier GDICORP s'écroula brutalement, la banque centrale se trouva à court de liquidités, les prix s'envolèrent, le palladollar ne valait plus que le prix du papier sur lequel il était imprimé.

Le choc fut immense pour la population qui pensait pouvoir passer sa vie à s'amuser. Mais l'âge d'or semblait révolue : des enfants affamés mendiaient dans les rues, des épidémies d'elmérisme commencèrent à frapper la région...


Misérable armée palladionaute
Misérable armée palladionaute

L'attaque brune

Pour couronner le tout, l'Empire Brun décida de profiter de la crise pour attaquer Palladium-City ! Une division brune surarmée fit route vers le Nord-Est du continent.

Les dirigeants de la ville cherchèrent à constituer une armée de fortune, mais la population, qui ne connaissait que la fête, n'avait aucune idée de la façon dont il fallait tenir un fusil.


Missile kralandais
Missile kralandais

L'intervention kralandaise

La situation était telle que le Palladium n'eut comme solution que d'appeler la République de Kraland à la rescousse.

Celle-ci rassembla ses forces et attaqua l'armée brune sur son flanc. Après plusieurs heures de combat, l'armée brune fut repoussée. Kraland avait sauvé Palladium-City des armées démoniaques de l'Empire Brun.


Le bâtiment de la police politique kra
Le bâtiment de la police politique kra

L'occupation kralandaise

En contre-partie de son intervention, Kraland transforma Palladium-City en ville-satellite. Le socialo-graffitisme fut alors imposé et la production relancée. La famine fut conjurée et les épidémies repoussées.

Dans les premiers mois, la population fit la fête à ses libérateurs mais peu à peu le mécontentement grandit. Une occupation "gentille" était plus agréable qu'une occupation "méchante", mais c'était une occupation quand même. Des groupes de nationalistes se créèrent et commencèrent à comploter pour recouvrer l'indépendance du Palladium.